243 logements réhabilités au 40 et 50 galerie de l’Arlequin et une enveloppe de plus 70 000 euros par logement contre un coût moyen 16 000 euros à l’échelle nationale pour ce type de réhabilitation. Deux chiffres qui témoignent de notre ambition de faire à Grenoble le premier éco-quartier en périmètre de renouvellement urbain de France. Deux chiffres que j’ai tenu à présenter et à expliquer aux journalistes, ce samedi matin dans mon bureau, en présence de mes collègues élus, Jérôme Safar, Monique Vuaillat, Abde Djellal, Hélène Vincent, de Jean-François Lapière et Alain Fayen représentant respectivement Actis et la SDH.
Dès 1995, j’ai choisi de faire de la politique de la ville une des priorités de mon mandat. Ces importants travaux de réhabilitation thermique des logements et des façades, qui arrivent après la démolition du parking silo 5, s’inscrivent donc dans la continuité de nos actions à Teisseire, Mistral, Châtelet. Une démarche de longue haleine qui s’accompagne également d’un important travail social avec les habitants et les associations de quartier. Au-delà de l’aspect esthétique et de l’amélioration du confort de vie avec la création de nouveaux ascenseurs et de nouveaux halls, cette réhabilitation devrait également permettre une baisse du couple loyer plus charges pouvant aller jusqu’à – 12 %, la concertation a d’ailleurs permis de constater que ce projet était bien accueilli par les habitants. Et je me réjouis que la délibération portée par mon 1er Adjoint Jérôme Safar ait été votée à l’unanimité, lundi dernier, lors du dernier conseil municipal.
Après de Bonne, premier éco-quartier de France en 2008, cette réhabilitation affirme notre volonté de faire de l’Arlequin le premier éco-quartier de France situé en renouvellement urbain.
