L’Edito de la Lettre d’info – Février 2017

Fév 7, 2017 | Edito | 0 commentaires

editoChaque mois, les abonnés à ma « Lettre d’info » reçoivent un résumé complet de mes activités, un point sur mon agenda à venir, et un édito où  je m’exprime sur l’actualité, sur les valeurs auxquelles je crois et sur mes vœux pour notre ville, notre territoire et notre pays.

Retrouvez, dans cet article, l’édito du mois de février :

« Les événements qui touchent à la légende promettent l’imprévisible, diffèrent le destin. » (André Malraux)

Des mots prononcés au sujet du Général de Gaulle, valables pour tout homme qui aspire à diriger la France, et qui ont donc un sens à la veille des mois d’avril et de mai, mois de l’élection de notre futur Président de la République. Mais il faut bien avouer que cette campagne révèle véritablement son lot d’imprévus ! Ainsi le degré de certitude des sondages d’opinion semble-t-il toujours plus fluctuant. Ainsi les cartes rebattues après les révélations sur le candidat désigné par la Primaire de la droite rappellent-elles au passage – pour reprendre à nouveau les mots de Malraux – que si on ne fait pas de politique à coup de morale, « on n’en fait pas davantage sans ».

Dans cette accumulation d’imprévus, dans le flou qui s’en prend parfois même aux propositions et aux programmes, sachons offrir une voie juste et enviable, faite d’engagement, de constance et de sincérité. C’est la clé non seulement de tout rassemblement, mais aussi de l’indispensable victoire.

Je me réjouis ainsi que localement nous ayons pu tenir avec un franc succès notre première réunion pour lancer la campagne des législatives sur la 3ème circonscription. Je me réjouis que les participants furent si nombreux, venus d’horizons différents, porteurs de sensibilités différentes, mais toutes et tous remplis d’un engagement profond et persévérant. Ensemble, nous avons parlé de ces idéaux qui ont fait depuis toujours la belle identité de notre circonscription : le partage, l’aspiration au progrès, et l’exigence de solidarité. Pourquoi demain le destin de la France devrait se priver de ceux-ci ?