Vendredi soir j’assistais à la remise d’une distinction emblématique à une femme de conviction, à l’hôtel du département, en présence de nombreux élus et collaborateurs. Gisèle Perez, première Vice-présidente du Conseil général de l’Isère, chargée de la solidarité avec les personnes âgées et les personnes handicapées, recevait les insignes de chevalier de la Légion d’honneur des mains du Secrétaire d’Etat à la réforme territoriale et ancien Président du Conseil Général, André Vallini.
Cette distinction, c’est d’abord la reconnaissance d’un engagement à travers son mandat départemental en faveur des aînés et des personnes handicapées, notamment pour porter des débats précurseurs dans ces domaines, comme, par exemple, lors des Assises du « Bien vivre à domicile » en octobre 2012 ou du « Bien-être en établissement » en juin 2013.
Pour autant, son engagement ne s’arrête pas là. Son investissement dans le monde associatif est tout aussi important. Gisèle Perez est ainsi Présidente de la Maison départementale des personnes handicapées de l’Isère (MDPHI).
Gisèle est aussi pour moi cette militante de terrain avec qui j’ai partagé la belle aventure des élections municipales de 1995. Devenue conseillère municipale de Grenoble en charge des quartiers Sud, elle a ensuite succédé à Annie Deschamps sur le canton 6.
