La présentation du rapport d’étape de la mission d’information sur les IDE (investissements directs étrangers) devant les commissions des affaires économiques et des affaires étrangères de l’Assemblée nationale m’ont donné l’occasion d’intervenir sur cette question essentielle pour l’économie de notre pays.
Comment mieux valoriser nos atouts pour attirer sur notre territoire les investissements étrangers et comment encourager les entreprises françaises à investir davantage à l’étranger?
Les poids relatifs des USA et de l’Europe tendent à diminuer par rapport aux pays dits émergents.
Les résultats de la France apparaissent stables.
J’ai suggéré au président François Scellier et au rapporteur Philippe Kemel de la mission de poursuivre leurs investigations en cherchant à cerner les écosystèmes les plus performants pour attirer les IDE et de révéler les critères réputés les plus appropriés pour accueillir les investissements étrangers en France, en distinguant les différentes filières, sur le plan de l’environnement économique et technologique mais aussi de l’environnement social et sociétal (et notamment éducatif).
Et puis, il y a IDE et IDE. Comment se prémunir des IDE opportunistes, spéculatifs? Il serait intéressant de proposer les mesures, voire les barrières à mettre en place pour lutter contre ce phénomène.
