Michel Destot et Paul Bron en compagnie de Monsieur Yves Fournel, président du réseau français des villes éducatrices
La semaine dernière se tenait à Grenoble l’Assemblée générale des villes éducatrices qui compte aujourd’hui près de 80 villes membres. Cette rencontre fut l’occasion de rappeler que le Réseau Français des Villes Educatives ne s’arrête pas au constat d’une société fragilisée par la crise économique dans laquelle se développent des logiques d’entre-soi et de ségrégation territoriale, mais que c’est avec ambition et inventivité que ses membres participent à redéfinir le contenu de la politique éducative de notre pays avec l’objectif notamment de redonner confiance aux jeunes quant à leur avenir.
La Ville de Grenoble, avec notamment Paul Bron, mon collègue en charge de l’Education, joue un rôle actif dans cette association et je tiens à souligner, alors qu’une réflexion nationale est enfin lancée sur les rythmes scolaires et plus globalement sur les missions de l’école, que nous avions déjà à l’époque – en mars 2008 – émis de sérieuses réserves quant à l’application de la semaine de 4 jours et à ses conséquences sur le rythme biologique des enfants.
Fidèle à l’idée selon laquelle toute la ville est une source d’éducation, j’ai plaidé pour le développement, l’intensification et la diversification de nos efforts en faveur de la formation et de l’éducation afin que chacun soit capable de répondre aux défis de la société du XXIème siècle.
