Dans le cadre des grands projets de réhabilitation urbaine menés par notre municipalité, le quartier Teisseire a connu dès 1995 un programme de rénovation d’envergure guidé par le souci permanent d’assurer les équilibres territoriaux entre les différents quartiers et donc la cohésion sociale.
Cette semaine, en compagnie de Jérôme Safar, de Geneviève Fioraso, de Monique Vuaillat, de Sylvie Drulhon, de Farid Derbal et de Gildas Laeron, je suis allé à la rencontre des habitants et des acteurs associatifs du quartier Teisseire.
Nous avons tout d’abord passé un moment avec les responsables et les usagers de la nouvelle bibliothèque. Situé à la croisée des quartiers Teisseire et Malherbe, cet équipement particulièrement réussi a connu à son lancement quelques soucis de tranquillité publique qui sont aujourd’hui en passe de se régler. Ainsi, ce mercredi après-midi, les ateliers vidéo et multimédia battaient leur plein dans une bibliothèque particulièrement fréquentée.
C’est ensuite chez des habitants du quartier, locataires d’Actis que nous nous sommes rendus pour une visite et des échanges très intéressants à propos de ces logements récents avant de rejoindre le siège du Teisseire Football Club où le président Médhi Boultif et de nombreux membres du club nous ont accueillis. Visite des locaux, expression des besoins du club mais aussi résultats sportifs ont été au cœur de la discussion.
Puis, l’après-midi c’est terminée par la rencontre avec les « habitués » de l’association Fraternité, dans une grande convivialité autour d’une traditionnelle tasse de thé.
Au terme de cette visite, j’ai plaisir à voir que les aménagements que nous avons réalisés sont particulièrement appréciés et utilisés par les habitants et que, même si nous avons encore (et toujours !) des efforts à faire notamment s’agissant de l’animation et de l’encadrement des jeunes du secteur, l’ensemble des acteurs (habitants, commerçants, associations, équipements publics) ont une réelle volonté de travail en commun et une vraie envie de participer et de construire ce que nous avons coutume d’appeler le » mieux vivre ensemble ».